Le lundi 18 décembre 2023, des cadres de l’Unicef ont organisé uncafé de presse avec la participation des influenceurs, des artistes et des professionnels des médias. Ceci dans le cadre de la rencontre mensuelle entre les médias et les équipes programmes de l’Unicef. Cette fois-ci, cette rencontre a été réservée exclusivement avec l’équipe de la section éducation au sein de l’Unicef, dans le but d’échanger sur les questions qui touchent l’Unicef en général et en particulier l’éducation en République Centrafricaine.
Aussi, il était l’occasion de présenter les domaines principaux d’activités de la section éducation en République Centrafricaine. Cette rencontre a permis également aux participants de rédiger des articles de presse, ou produire des œuvres artistiques en lien avec le secteur éducationnel en Centrafrique.
A tour de rôle, l’équipe de la section éducation, a présenté diverses activités effectuées dans leurs zones d’intervention. A cet effet, Noémi Roblati, Cheffe éducation à l’Unicef, est revenu sur le plan sectoriel de l’éducation effectué en appui de la communauté.«Il y a tout un aspect d’avoir le dialogue avec la communauté. Il faut engager la communauté pour qu’elle voie l’importance de l’éducation et qu’elle se sent impliquée en jouant un rôle dans la gestion de cette école construite dans le village. La communauté est plus élargie que l’Association des Parents d’Elèves», a-t-elle présenté.
Et celle-ci de clarifier que son implication a pour but de prendre soin de cette école et pour assurer que c’est un environnement sûr et que les élèves sont à l’aise. Cette sensibilisation est faite à travers des matériels que l’Unicef a validé ensemble avec le ministre de l’Education Nationale, lui-même, pour une approche de dialogue communautaire qu’on a piloté et va mettre en échelle en 2024, qui prend en compte tout un village pour établir une plateforme communautaire qui s’appelle en langue Sango «Kundü Kwa», c’est-à-dire, «Comité de travail pour mettre en place un plan communautaire pour appuyer l’éducation».
Pour pallier aux problèmes de manque d’enseignants, surtout des femmes, Mairama Dikwa, Spécialiste-éducation point focal de l’Union Européenne près de l’Unicef, a rappelé la nouvelle stratégie mis en place cette année par sa structure pour identifier les femmes enseignantes dans leurs zones d’intervention, les Organisations des Femmes Centrafricaines (OFCA) sont des facilitatrices d’identification. «C’est une nouvelle stratégie qu’on vient de prendre cette année et qui va aller jusqu’à 2027. C’est quelque chose qu’on essaye de tester et surtout dans nos zones cibles et pour le moment, on a une dizaine de préfectures dans lesquelles, nous allons travailler avec différents programmes de l’éducation et on va travailler avec l’OFCA qui est dans ces préfectures et nous avons rencontré certaines présidentes de l’OFCA comme de Bossangoa et autres. Ce qu’on a compris au niveau de cette organisation, les femmes sont organisées en groupement et pour nous, c’est de travailler avec des groupements qui sont dans nos zones cibles», a rappelé Mairama Dikwa.
La cheffe de la communication et plaidoyers de l’Unicef, Salwa Moussa, a souligné au cours de ce café de presse que l’année dernière, il y avait beaucoup de travail sur la structuration de leur section à l’interne et cela leur a permis de dire qu’elle est suffisamment capable de lancer l’année 2024 comme l’année de partenariat pour le plaidoyer avec des influenceurs, des artistes et des médias avec un plan de travail bien établi pour quelques année, afin de porter haut le plaidoyer pour le respect de droit de l’enfant en République Centrafricaine.
Aussi, il était l’occasion de présenter les domaines principaux d’activités de la section éducation en République Centrafricaine. Cette rencontre a permis également aux participants de rédiger des articles de presse, ou produire des œuvres artistiques en lien avec le secteur éducationnel en Centrafrique.
A tour de rôle, l’équipe de la section éducation, a présenté diverses activités effectuées dans leurs zones d’intervention. A cet effet, Noémi Roblati, Cheffe éducation à l’Unicef, est revenu sur le plan sectoriel de l’éducation effectué en appui de la communauté.«Il y a tout un aspect d’avoir le dialogue avec la communauté. Il faut engager la communauté pour qu’elle voie l’importance de l’éducation et qu’elle se sent impliquée en jouant un rôle dans la gestion de cette école construite dans le village. La communauté est plus élargie que l’Association des Parents d’Elèves», a-t-elle présenté.
Et celle-ci de clarifier que son implication a pour but de prendre soin de cette école et pour assurer que c’est un environnement sûr et que les élèves sont à l’aise. Cette sensibilisation est faite à travers des matériels que l’Unicef a validé ensemble avec le ministre de l’Education Nationale, lui-même, pour une approche de dialogue communautaire qu’on a piloté et va mettre en échelle en 2024, qui prend en compte tout un village pour établir une plateforme communautaire qui s’appelle en langue Sango «Kundü Kwa», c’est-à-dire, «Comité de travail pour mettre en place un plan communautaire pour appuyer l’éducation».
Pour pallier aux problèmes de manque d’enseignants, surtout des femmes, Mairama Dikwa, Spécialiste-éducation point focal de l’Union Européenne près de l’Unicef, a rappelé la nouvelle stratégie mis en place cette année par sa structure pour identifier les femmes enseignantes dans leurs zones d’intervention, les Organisations des Femmes Centrafricaines (OFCA) sont des facilitatrices d’identification. «C’est une nouvelle stratégie qu’on vient de prendre cette année et qui va aller jusqu’à 2027. C’est quelque chose qu’on essaye de tester et surtout dans nos zones cibles et pour le moment, on a une dizaine de préfectures dans lesquelles, nous allons travailler avec différents programmes de l’éducation et on va travailler avec l’OFCA qui est dans ces préfectures et nous avons rencontré certaines présidentes de l’OFCA comme de Bossangoa et autres. Ce qu’on a compris au niveau de cette organisation, les femmes sont organisées en groupement et pour nous, c’est de travailler avec des groupements qui sont dans nos zones cibles», a rappelé Mairama Dikwa.
La cheffe de la communication et plaidoyers de l’Unicef, Salwa Moussa, a souligné au cours de ce café de presse que l’année dernière, il y avait beaucoup de travail sur la structuration de leur section à l’interne et cela leur a permis de dire qu’elle est suffisamment capable de lancer l’année 2024 comme l’année de partenariat pour le plaidoyer avec des influenceurs, des artistes et des médias avec un plan de travail bien établi pour quelques année, afin de porter haut le plaidoyer pour le respect de droit de l’enfant en République Centrafricaine.