La Russie n’entraînera les pays africains dans une dépendance, comme l’Europe le fait à l’aide des instruments financiers. Moscou suivra une voie différente, selon un rapport du Club de discussion Valdaï cité par TASS.
« Les pays africains ne doivent pas s’attendre à une aide de type européen de la part de la Russie, qu’il s’agisse de prêts ou de transferts. Tout ce qu’ils font, c’est geler les institutions publiques des bénéficiaires de l’aide, les laisser dépendants et faibles, et créer un long fardeau de la dette. La Russie choisit une voie différente dans ses efforts pour aider l’Afrique. Par exemple, son initiative visant à subventionner les transports des exportateurs a permis aux acheteurs africains de bénéficier de prix inférieurs à ceux des produits français et américains », souligne le rapport.
Selon le document, d’ici le prochain sommet Russie-Afrique en 2026, Moscou devrait créer des conditions propices à aux investissements dans les États africains. La Russie pourrait prendre des mesures pour soutenir les activités de ses entreprises sur le continent et informer les participants potentiels de ces projets, indique le rapport.
Pour rappel, Annalena Baerbock, ministre allemande des Affaires étrangères, a exprimé ses inquiétudes par rapport aux investissements russes et chinois dans l’Afrique de l’Ouest lors de sa récente tournée diplomatique à travers la région.
« Les pays africains ne doivent pas s’attendre à une aide de type européen de la part de la Russie, qu’il s’agisse de prêts ou de transferts. Tout ce qu’ils font, c’est geler les institutions publiques des bénéficiaires de l’aide, les laisser dépendants et faibles, et créer un long fardeau de la dette. La Russie choisit une voie différente dans ses efforts pour aider l’Afrique. Par exemple, son initiative visant à subventionner les transports des exportateurs a permis aux acheteurs africains de bénéficier de prix inférieurs à ceux des produits français et américains », souligne le rapport.
Selon le document, d’ici le prochain sommet Russie-Afrique en 2026, Moscou devrait créer des conditions propices à aux investissements dans les États africains. La Russie pourrait prendre des mesures pour soutenir les activités de ses entreprises sur le continent et informer les participants potentiels de ces projets, indique le rapport.
Pour rappel, Annalena Baerbock, ministre allemande des Affaires étrangères, a exprimé ses inquiétudes par rapport aux investissements russes et chinois dans l’Afrique de l’Ouest lors de sa récente tournée diplomatique à travers la région.
