Pour motiver la jeunesse centrafricaine en général et celle du 8ème arrondissement de Bangui en particulier, après les multiples crises militaro-politiques, il est judicieux que les jeunes centrafricains se mobilisent dans la pratique des activités professionnelles pour mieux réduire le taux de chômage. C’est dans cette optique que le Centre de Formation Professionnelle «La sueur», à travers l’équipe dirigeante, se donne dans l’encadrement des jeunes désœuvrés.
Juste Bindoumi Tokanda, chargé d’administration a précisé que des différentes filières sont disponibles, notamment la couture, la mécanique, l’hôtellerie, la menuiserie, l’auto-école, l’électricité, le bâtiment, l’art et culture et la santé.
En dépit des efforts fournis par le«Centre de Formation du Développement des Jeunes Artisans la Sueur» (CFODJAS), le constat relève que des appuis techniques et financiers tardent à venir de la part de certaines organisations internationales, engagées de soutenir la République Centrafricaine, victime des conséquences néfastes de la guerre, provoquant ainsi de troubles mentaux en majorité chez les jeunes, voire même psychologique, faute de moyens. C’est ce qu’a relevé Ezéchiel Boukéssé, Coordonnateur dudit Centre.
C’est pourquoi, poursuit-il, «nous continuons de tendre la main à nos partenaires. L’essentiel est que les personnes de bonne volonté, les partenaires techniques et financiers puissent venir visiter notre Centre et toucher du doigt les différentes prestations des jeunes désœuvrés que nous formons pour l’avenir de demain», a lancé le chargé d’administration, Juste Bindoumi Tokanda.
L’Administrateur en a profité de l’occasion pour lancer un message de réconfort à la jeunesse centrafricaine et les hautes autorités du pays, «je demande à la jeunesse, vitrine de la République Centrafricaine, de ne se fier ni au banditisme ni à la fainéantise. Car, ces genres de comportement ne rendent pas l’homme heureux. Nous souhaitons aux jeunes qui veulent réellement avoir un métier de nous rapprocher. Nous avons plusieurs modalités de recrutement où nous prenons aussi en compte les orphelins. Aux autorités du pays et aux partenaires techniques et financiers, nous leurs disons que notre porte reste toujours grandement ouverte dans tout le domaine pour la réussite et le développement de la jeunesse centrafricaine à travers les AGR».
Au finish, plusieurs critères d’accès au«Centre de Formation du Développement des Jeunes Artisans la Sueur» (CFODJAS) sont disponibles, notamment par la voie d’adhésion, de l’inscription et donc fait également la promotion interne d’emploi.
Juste Bindoumi Tokanda, chargé d’administration a précisé que des différentes filières sont disponibles, notamment la couture, la mécanique, l’hôtellerie, la menuiserie, l’auto-école, l’électricité, le bâtiment, l’art et culture et la santé.
En dépit des efforts fournis par le«Centre de Formation du Développement des Jeunes Artisans la Sueur» (CFODJAS), le constat relève que des appuis techniques et financiers tardent à venir de la part de certaines organisations internationales, engagées de soutenir la République Centrafricaine, victime des conséquences néfastes de la guerre, provoquant ainsi de troubles mentaux en majorité chez les jeunes, voire même psychologique, faute de moyens. C’est ce qu’a relevé Ezéchiel Boukéssé, Coordonnateur dudit Centre.
C’est pourquoi, poursuit-il, «nous continuons de tendre la main à nos partenaires. L’essentiel est que les personnes de bonne volonté, les partenaires techniques et financiers puissent venir visiter notre Centre et toucher du doigt les différentes prestations des jeunes désœuvrés que nous formons pour l’avenir de demain», a lancé le chargé d’administration, Juste Bindoumi Tokanda.
L’Administrateur en a profité de l’occasion pour lancer un message de réconfort à la jeunesse centrafricaine et les hautes autorités du pays, «je demande à la jeunesse, vitrine de la République Centrafricaine, de ne se fier ni au banditisme ni à la fainéantise. Car, ces genres de comportement ne rendent pas l’homme heureux. Nous souhaitons aux jeunes qui veulent réellement avoir un métier de nous rapprocher. Nous avons plusieurs modalités de recrutement où nous prenons aussi en compte les orphelins. Aux autorités du pays et aux partenaires techniques et financiers, nous leurs disons que notre porte reste toujours grandement ouverte dans tout le domaine pour la réussite et le développement de la jeunesse centrafricaine à travers les AGR».
Au finish, plusieurs critères d’accès au«Centre de Formation du Développement des Jeunes Artisans la Sueur» (CFODJAS) sont disponibles, notamment par la voie d’adhésion, de l’inscription et donc fait également la promotion interne d’emploi.
