La coopération suédoise, via l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), a fait un don d’équipements biomédicaux au ministère de la Santé et de la Population le 06 décembre 2023. Inscrit dans le projet dit «Impact de Covid-19 sur les prestations des services de santé essentiels et atténuation du risque d’effondrement du système», courant 2021-2023, ce geste a pour but de contribuer aux renforcements de capacités des maternités, noyaux de la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale. Ce lot de matériels a été réceptionné par Dr Pierre Somsé, Ministre en charge de la Santé et de la Population, avec à ses côtés, Dr Ngoy Nsenga, Représentant de l’OMS et des invités de marque.
Ces équipements biomédicaux sont composés de cent (100) guides du Counseling en Planification Familiale (CPF), cinq cent (500) registres d’accouchement, mille (1.000) fiches de rapport mensuel d’utilisation des contraceptifs, un (1) autoclave, quatre mille six cent (4.600) disques pour le choix des méthodes contraceptives, quinze (15) pompes d’extraction à vide, deux (2) d’instruments de chirurgie générale y compris la césarienne, vingt (20) tables d’accouchement, quatre cent (400) stéthoscopes obstétricaux, deux (2) tables d’opération chirurgicale et trente-sept mille cinq cent (37.500) paires de gants. Le tout, en valeur de quarante-huit millions cent cinquante-un mille deux cent soixante-deux (48.151.262) FCFA.
Une occasion pour le Représentant de l’OMS en Centrafrique,Dr Ngoy Nsenga, de mettre un accent particulier sur la coïncidence de leadership entre le Chef du département de la Santé et sa personne, en ce qui concerne l’appui dans le domaine de lutte contre la mortalité maternelle et infantile. «Le leadership du ministre de la Santé pour le développement de la santé et surtout, l’approvisionnement des services de qualité, la performance de santé dans ce pays, je me trouve souvent que nous avons la même vision, en ce qui concerne qu’est-ce qu’on peut faire pour la santé. Et aujourd’hui, nous parlons de la santé de l’enfant et de la mère. Il n’est pas acceptable en ce 21ème siècle, qu’une femme juste pour avoir donné naissance à une vie, rend son âme et ce n’est même pas acceptable pour la société. Puisque cette perte nous savons qu’elles sont les conséquences sociales, économiques que l’on traine dans nos communauté», a-t-il rappelé.
La remise officielle de cet important don qui porte sur les services liés à la santé de la mère à l’enfant, surtout sur l’atténuation de l’impact de la pandémie à Covid-19, visant l’accès aux services par le groupe vulnérable, selon le membre du gouvernement, marque trois (3) choses : «d’abord, une profonde gratitude à l’Organisation Mondiale de la Santé et à la Suède qui est l’origine de ce don. Le deuxième point, ce don, doit nous permettre de souligner deux (2) faits importants qui doivent nous guider dans la gouvernance du système de service de santé. Le 1er fait, c’est l’importance de l’objectif de réduction de mortalité maternelle infantile dans notre pays. La mortalité maternelle infantile, est une tragédie silencieuse dans ce pays. Elle est aussi importante que la pandémie à Covid-19 sauf que cette pandémie à Covid-19 sévie dans le silence. Notre pays a un taux maternel parmi les 4 pays au monde le plus élevés avec 829 décès maternels pour 100.000 naissances. Le deuxième fait important, nous n’avons pas finis avec la pandémie à Covid-19. On a fini avec la crise, mais pas les effets, les impacts sur la santé et le développement», a souligné Dr Pierre Somsé.
A vraie dire, la mortalité de la mère et de l’enfant reste un défi majeur à relever pour les hautes autorités de la République Centrafricaine. D’où l’importance de réveiller la conscience sans mur-mur des partenaires techniques et financiers tant sur le plan national qu’international. Car, chaque vie compte pour le développement du monde.
Ces équipements biomédicaux sont composés de cent (100) guides du Counseling en Planification Familiale (CPF), cinq cent (500) registres d’accouchement, mille (1.000) fiches de rapport mensuel d’utilisation des contraceptifs, un (1) autoclave, quatre mille six cent (4.600) disques pour le choix des méthodes contraceptives, quinze (15) pompes d’extraction à vide, deux (2) d’instruments de chirurgie générale y compris la césarienne, vingt (20) tables d’accouchement, quatre cent (400) stéthoscopes obstétricaux, deux (2) tables d’opération chirurgicale et trente-sept mille cinq cent (37.500) paires de gants. Le tout, en valeur de quarante-huit millions cent cinquante-un mille deux cent soixante-deux (48.151.262) FCFA.
Une occasion pour le Représentant de l’OMS en Centrafrique,Dr Ngoy Nsenga, de mettre un accent particulier sur la coïncidence de leadership entre le Chef du département de la Santé et sa personne, en ce qui concerne l’appui dans le domaine de lutte contre la mortalité maternelle et infantile. «Le leadership du ministre de la Santé pour le développement de la santé et surtout, l’approvisionnement des services de qualité, la performance de santé dans ce pays, je me trouve souvent que nous avons la même vision, en ce qui concerne qu’est-ce qu’on peut faire pour la santé. Et aujourd’hui, nous parlons de la santé de l’enfant et de la mère. Il n’est pas acceptable en ce 21ème siècle, qu’une femme juste pour avoir donné naissance à une vie, rend son âme et ce n’est même pas acceptable pour la société. Puisque cette perte nous savons qu’elles sont les conséquences sociales, économiques que l’on traine dans nos communauté», a-t-il rappelé.
La remise officielle de cet important don qui porte sur les services liés à la santé de la mère à l’enfant, surtout sur l’atténuation de l’impact de la pandémie à Covid-19, visant l’accès aux services par le groupe vulnérable, selon le membre du gouvernement, marque trois (3) choses : «d’abord, une profonde gratitude à l’Organisation Mondiale de la Santé et à la Suède qui est l’origine de ce don. Le deuxième point, ce don, doit nous permettre de souligner deux (2) faits importants qui doivent nous guider dans la gouvernance du système de service de santé. Le 1er fait, c’est l’importance de l’objectif de réduction de mortalité maternelle infantile dans notre pays. La mortalité maternelle infantile, est une tragédie silencieuse dans ce pays. Elle est aussi importante que la pandémie à Covid-19 sauf que cette pandémie à Covid-19 sévie dans le silence. Notre pays a un taux maternel parmi les 4 pays au monde le plus élevés avec 829 décès maternels pour 100.000 naissances. Le deuxième fait important, nous n’avons pas finis avec la pandémie à Covid-19. On a fini avec la crise, mais pas les effets, les impacts sur la santé et le développement», a souligné Dr Pierre Somsé.
A vraie dire, la mortalité de la mère et de l’enfant reste un défi majeur à relever pour les hautes autorités de la République Centrafricaine. D’où l’importance de réveiller la conscience sans mur-mur des partenaires techniques et financiers tant sur le plan national qu’international. Car, chaque vie compte pour le développement du monde.