A travers une décision rendue publique le samedi 25 novembre 2023, et signée par le ministre de l’Intérieur chargé de la Sécurité Publique, Michel Nassin, les activités du Syndicat Autonome de la Police Centrafricaine est suspendue jusqu’à nouvel ordre. Les motifs évoqués par le patron de la Sécurité Publique, non-respect du Code d’Ethique et de Déontologie, Insubordination, Dénonciation Calomnieuse sur la base d’une fiche mensongère.
En son Article 1er, le texte a rappelé que ceci est en application des dispositions des articles 137, 138, 139, 140, 141 et 142 du Décret N° 16.0033 du 11 janvier 2016, fixant les règles d’application de la Loi N° 08.016 du 20 mai 2008, portant Statut Spécial de la Police Centrafricaine.
Si le patron de la Sécurité Publique a pris cette décision suspendre provisoirement ce syndicat, cela prouve à suffisance qu’il a enregistré beaucoup de plaintes concernant l’organisation et le fonctionnement de ce syndicat autonome.
D’ailleurs, il faut relever aussi que certains éléments de la police centrafricaine ont fait l’objet de plusieurs critiques acerbes de la part des Centrafricains au sujet de leur travail sur le terrain. La population accuse certains de ces éléments de la police centrafricaine d’être de «bons corrompus» sur le terrain, surtout de la part des conducteurs des taxi-motos ainsi que de certains conducteurs de véhicules.
Tous ces comportements peu honorables de certains éléments de la police centrafricaine sur le terrain, n’a jamais interpeler le Syndicat Autonome de la Police, parce que défendre l’intérêt des policiers, doit également passer par le respect des règles et surtout le comportement professionnel sur le terrain. C’est ce qui doit honorer un policier dans l’exercice de ses fonctions qui est d’abord, la protection de la population. Et lorsque le policier est devenu le bourreau de la population, c’est outrepasser sa mission régalienne.
Suite à cette décision, les policiers centrafricains ont tout intérêt à jeter un coup d’œil dans leur rétroviseur, de soigner leur image d’abord sur le terrain en luttant contre la corruption qui, d’ailleurs, gangrène ce corps, et redorer leur image. Ce qui permettra certainement au patron de la Sécurité Publique de revenir à de bons sentiments.
Le corps de la police ne doit pas comporter des brebis galeuses ! Il est temps que ce métier soit toiletté dans le seul intérêt du peuple Centrafricain.
En son Article 1er, le texte a rappelé que ceci est en application des dispositions des articles 137, 138, 139, 140, 141 et 142 du Décret N° 16.0033 du 11 janvier 2016, fixant les règles d’application de la Loi N° 08.016 du 20 mai 2008, portant Statut Spécial de la Police Centrafricaine.
Si le patron de la Sécurité Publique a pris cette décision suspendre provisoirement ce syndicat, cela prouve à suffisance qu’il a enregistré beaucoup de plaintes concernant l’organisation et le fonctionnement de ce syndicat autonome.
D’ailleurs, il faut relever aussi que certains éléments de la police centrafricaine ont fait l’objet de plusieurs critiques acerbes de la part des Centrafricains au sujet de leur travail sur le terrain. La population accuse certains de ces éléments de la police centrafricaine d’être de «bons corrompus» sur le terrain, surtout de la part des conducteurs des taxi-motos ainsi que de certains conducteurs de véhicules.
Tous ces comportements peu honorables de certains éléments de la police centrafricaine sur le terrain, n’a jamais interpeler le Syndicat Autonome de la Police, parce que défendre l’intérêt des policiers, doit également passer par le respect des règles et surtout le comportement professionnel sur le terrain. C’est ce qui doit honorer un policier dans l’exercice de ses fonctions qui est d’abord, la protection de la population. Et lorsque le policier est devenu le bourreau de la population, c’est outrepasser sa mission régalienne.
Suite à cette décision, les policiers centrafricains ont tout intérêt à jeter un coup d’œil dans leur rétroviseur, de soigner leur image d’abord sur le terrain en luttant contre la corruption qui, d’ailleurs, gangrène ce corps, et redorer leur image. Ce qui permettra certainement au patron de la Sécurité Publique de revenir à de bons sentiments.
Le corps de la police ne doit pas comporter des brebis galeuses ! Il est temps que ce métier soit toiletté dans le seul intérêt du peuple Centrafricain.